CLAIRE DEUTSCH est née en 1982 à Strasbourg. Après avoir suivi des études de lettres modernes, elle exerce durant deux ans le métier d’enseignante en école primaire. En 2007, elle commence une formation de comédienne à la Manufacture-Haute école de théâtre de Suisse romande à Lausanne. Dès sa sortie de l’école en 2010, elle joue dans REVE, de Vincent Brayer ; puis dans Erwan et les oiseaux de Jean-Yves Ruf. En 2011-2012 elle joue dans Salle d’attente, mise en scène de Krystian Lupa à Vidy et en tournée en Suisse, France et Pologne, puis dans Baptiste et Angèle de Francine Wohnlich au Poche à Genève et à Vidy-Lausanne. En 2012-13, elle joue dans trois créations : Un après-midi au zoo de la Cie Post Tenebras Lux (au théâtre St Gervais, au 2.21 à Lausanne); Dîtes-moi qui je suis (à l’Arsenic de Lausanne) de Vincent Brayer ; Hey, it’s cold here (au TLH de Sierre) de Julia Perrazini. En 2013-14, elle joue dans Sauna (au Théâtre du Loup à Genève) d’Adrien Barazzone, et dans On a promis de ne pas vous toucher (Prix Premio) d’Aurélien Patouillard ; en 2014/15 dans : Will’s will (Arsenic) de Vincent Brayer, dans A Côté (théâtre 2.21) de Catherine Delmar, Abymes (Arsenic) d’Audrey Cavélius, Hamlet dans les écoles (Vaud et Genève) de Magali Tosato. En 2014, elle fonde avec cinq camarades de la Manufacture le Collectif Sur Un Malentendu. En 2015, Le Collectif créé la pièce d’Anja Hilling, Tristesse animal noir (Arsenic, TLH, Théâtre du Loup). En 2016, E. Blaser, A. Barazzone et elle créent Tu nous entends ? (Arsenic, Case à chocs à La Chaux-de-Fonds) et Claire reprend une tournée d’Hamlet dans les écoles. En 2016/17, elle met en scène Nouveau Monde (L’usine à Genève et au 2.21) de la Cie Post-Tenebras-Lux, puis fait regard extérieur dans la nouvelle création du Collectif Sur Un Malentendu, Dans le blanc des dents (Le Poche, l’Arsenic, le TPR). Elle joue dans Royaume (Théâtre du Loup) de Cosima Weiter et Alexandre Simon, puis dans La Ligne (Théâtre St Gervais) de Jean-Baptiste Roybon. Elle accompagne et dirige l’actrice Isabelle Vesseron dans sa création de FAUT PAS CACHER LA MERDE AU CHAT (Cie Maria Ménestrel).