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« Notre culture militante [est] en partie impuissante à prendre au sérieux des danses et des chants. Il n’y a rien de plus sérieux aujourd’hui que de devenir capable à notre tour, d’inventer collectivement des dispositifs qui nous protègent à la fois du désespoir et du cynisme, comme des paroles qui suspendent le cours habituel des choses et (re)créent du possible. »     Starhawk


La cie Maria Ménestrel 

La compagnie Maria Ménestrel, basée à Lausanne, existe depuis 2017. Elle a été fondée à l’occasion des premières représentations de FAUT PAS CACHER LA MERDE AU CHAT, proposition solo intime et radicale de l’autrice et interprète Isabelle Vesseron (Les Urbaines (VD) & Fête du Théâtre 2017, Le Grütli 2020 (GE)).

La compagnie regroupe des artistes (metteur·euses en scène, comédien·nes, musicien˙nes, créateur·ices sonores, danseur·euses, plasticienne, auteur, costumière) désireuses/eux de recréer du lien entre l’art et la vie, notamment Isabelle Vesseron, Claire Deutsch, Julien Alembik, Martin Perret, Adrien Knecht, Cédric Simon, Joséphine Struba, Vincent Riebeek, Gwendolin Jenkins…

Avec le spectacle Après le déluge ( ou la véritable histoire réinventée de Humbaba, Enkidu et Gylgamesh ) programmé au Festival de la Cité de Lausanne (VD), en Juillet 2022, et au Théâtre de la l’Oriental de Vevey en décembre 2022, la compagnie se tourne vers les jeunes générations en proposant un spectacle tout public dès 6 ans.

Puisant dans leurs souhaits de repeupler les imaginaires par le biais de formes incertaines, d’images inconscientes, de sons caverneux et sifflotants, les membres de la cie Maria Ménestrel trouvent leur façon de militer artistiquement pour l’émergence de nouvelles visions. Ils et elles travaillent à composer des images scéniques fortes, qui soient un accès à des espaces-temps au sein desquels les perceptions puissent être altérées, les émotions re-convoquées et re-valorisées, et les réflexions désorientées. En prenant leur source dans l’hybridation des genres – théâtre, danse, performance, arts plastiques, musique – les œuvres de la compagnie visent à offrir une possibilité de décloisonnement des esprits et des corps.

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« Notre culture militante [est] en partie impuissante à prendre au sérieux des danses et des chants. Il n’y a rien de plus sérieux aujourd’hui que de devenir capable à notre tour, d’inventer collectivement des dispositifs qui nous protègent à la fois du désespoir et du cynisme, comme des paroles qui suspendent le cours habituel des choses et (re)créent du possible. »     Starhawk


La cie Maria Ménestrel 

La compagnie Maria Ménestrel, basée à Lausanne, existe depuis 2017. Elle a été fondée à l’occasion des premières représentations de FAUT PAS CACHER LA MERDE AU CHAT, proposition solo intime et radicale de l’autrice et interprète Isabelle Vesseron (Les Urbaines (VD) & Fête du Théâtre 2017, Le Grütli 2020 (GE)).

La compagnie regroupe des artistes (metteur·euses en scène, comédien·nes, musicien˙nes, créateur·ices sonores, danseur·euses, plasticienne, auteur, costumière) désireuses/eux de recréer du lien entre l’art et la vie, notamment Isabelle Vesseron, Claire Deutsch, Julien Alembik, Martin Perret, Adrien Knecht, Cédric Simon, Joséphine Struba, Vincent Riebeek, Gwendolin Jenkins…

Avec le spectacle Après le déluge ( ou la véritable histoire réinventée de Humbaba, Enkidu et Gylgamesh ) programmé au Festival de la Cité de Lausanne (VD), en Juillet 2022, et au Théâtre de la l’Oriental de Vevey en décembre 2022, la compagnie se tourne vers les jeunes générations en proposant un spectacle tout public dès 6 ans.

Puisant dans leurs souhaits de repeupler les imaginaires par le biais de formes incertaines, d’images inconscientes, de sons caverneux et sifflotants, les membres de la cie Maria Ménestrel trouvent leur façon de militer artistiquement pour l’émergence de nouvelles visions. Ils et elles travaillent à composer des images scéniques fortes, qui soient un accès à des espaces-temps au sein desquels les perceptions puissent être altérées, les émotions re-convoquées et re-valorisées, et les réflexions désorientées. En prenant leur source dans l’hybridation des genres – théâtre, danse, performance, arts plastiques, musique – les œuvres de la compagnie visent à offrir une possibilité de décloisonnement des esprits et des corps.